De mon point de vue, j’ai eu de la chance de voir Strasbourg alors qu’il faisait doux. Cela même si les autochtones pensaient que le temps n’était pas en phase avec le calendrier.


J’en ai profité pour acheter un énième parapluie, même si je n’aime la pluie que bien au chaud dans ma ou une maison.

Je suis allée déambuler dans les allées du plus ancien marché de noël(1570) de France. Je ne l’ai pas trouvé extraordinaire. 


Il a fait des petits et le côté mercantile, celui que j’ai vu en premier est en tous points semblable à ceux que j’ai vu à Montbéliard, Montpellier, Nantes et ailleurs où il s’est reproduit.



Certes les gens y sont plus aimables et ça j’ai apprécié.
J’ai préféré aller en ville le nez en l’air comme à mon accoutumée. J’ai ramené quelques clichés : merci mon amireux de m’avoir prêté ton appareil photo puisque le mien m’a largué ! Il n’est pas le seul d’ailleurs…

La ville et son architecture me plaisent, dommage que tout ceci soit à l’Est, le soleil s’y lève m’a t-on appris mais ça doit être dans l’esprit embrumé des géographes : à sept heures du matin il fait nuit et à 17 h aussi ! Les jours semblent courts ou bien c’est que je ne suis pas adaptée à ce fuseau horaire gris/noir.


Lu dans la rue des écrivains :

et dans une autre partie de la ville :

Dans les rues j’ai volé des instants…moins que ce que j’aurais aimé mais, mes pauvres doigts avaient froid hors des gants et je ne sais rien faire si mes doigts sont recouverts. Les deux en manteaux sont sourdes et je les ai suivi depuis là :


Les à-chapeaux étaient tout près de moi : aller ou venir ? C’est ce que je me suis dit en les voyant :

De Ti-biscuit en Maneles et Bredeles, j’ai vu un peu de l’artisanat culinaire local en plus de la pâte à tartiner internationale.

Bien entendu le clou, le must a été de revoir ma cousine, mon filleul et de partager quelques jours avec eux.


La formation, motif premier de mon séjour là-haut a été riche d’enseignements que je mettrais des années à digérer et des siècles à appliquer. Lisez-donc pour vous en convaincre Les douces violences de Christine Schull. Il y avait cet engin garé en dessous de la salle de formation….

Et puis en vrac :
un mime,

de la dentelle,

un limonaire,

une façade,

une reproduction,

encore deux façades, 

Il y a encore plein de choses à voir, si le coeur vous en dit, le train vous déposera ici :

J’en ai oublié une…

Je ne m’y suis pas attardée !